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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 21:49

ART et FINANCE au XVIème siècle

Janvier 2010

 

France-Belgique 2009046 edited

Rubens bien sûr


Bonjour,


Comment vous souhaiter une bonne année ? C’est dans cet état d’esprit que j’ai pensé à vous en déambulant cet été au musée des beaux arts de Bruxelles. Une exposition donnait de nombreuses explications sur les tableaux de maîtres. Le 16ème siècle est celui de l’essor du capitalisme international. De grandes familles dominent les chefs d’Etats qu’elles financent. La famille Fugger d’Augsbourg exploite le cuivre depuis l’Afrique et rétribue un réseau d’informateurs qui lui donne les tendances des cours de la matière première. La famille La Tour et Taxis développe un service postal international qui lui permet d’anticiper la conjoncture économique. Avec le développement de l’imprimerie les techniques financières se développent : double comptabilité, bilans avec actif et passif, lettres de change et endossements se multiplient. Les transactions financières reposent de plus en plus sur le papier. Anvers devient le centre de la bourse. Les banquiers et agents de change, les usuriers et collecteurs d’impôts, les spéculateurs immobiliers, les investisseurs protègent les artistes. Car ces artistes renforcent le pouvoir économique dans une exploitation de la morale destinée au bon peuple. Pendant cette période, il est inutile de dire que la croissance exponentielle du commerce et de la finance, s’accompagne d’excès spéculatifs et d’énormes scandales financiers.

De ce point de vue notre époque n’affiche rien de bien neuf dans cet univers. Aussi l’intérêt de l’exposition est de montrer les puissants du jour dans leur cadre de vie.

 

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Dans le portait de famille de Maerten de Vos qui expose deux parents et deux enfants d’Antonius Anselmus, les vertus morales sont parfaitement décrites. La famille est source de vertu, de prospérité et de bonheur. Les vêtements portés, la bonne tenue des parents, indiquent une forte position sociale. Le père est échevin et les signes de l’aisance acquise sont nombreux : dentelles des habits, bijoux, la verrerie fine, les bagues de la femme. La richesse du mobilier qui était transmis par héritage termine la description d’une famille aisée. Il ne manque même pas l’allégorie de la sauterelle sur un tablier. Il faut se défier de cet insecte vorace, l’une des plaies d’Egypte, qui ruine les familles !

 

France-Belgique 2009074Le détail qui tue : la sauterelle menace de tout dévorer : vertu et fortune !

 

France-Belgique 2009070

 

Jean Cornelisz Vermeyen peint dans un triptyque la famille Micault. Micault était un grand argentier de la cour de Bruxelles. Son père était receveur général de Charles Quint et travaillait en tant que fermier. C’est dire qu’en échange d’un engagement de recouvrement d’une somme fixée à l’avance, tout ce qui pouvait être encaissé en excédent revenait personnellement au fermier. On imagine la rapacité des représentants de la ferme à l’égard d’une population rurale pour obtenir le meilleur résultat. Car eux aussi encaissaient quelques bribes d’une surexploitation fiscale.

 

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Pieter Bruegel l’Ancien peint dans le dénombrement de Béthléem une opération de recensement. Ce recensement avait été ordonné par l’empereur Auguste. Chaque citoyen romain devait donc être recensé. Joseph et Marie se sont rendu à dos d’âne à l’auberge du recensement. Des pièces de monnaie sont tendues au guichet où un livre enregistre les versements. En associant une opération de recensement au prélèvement d’un impôt c’est le début des temps modernes. Le simple fait de vivre impose un paiement dont même la mort ne délivre pas complètement les héritiers. La blancheur de la neige, le givre qui descend de l’auberge, les oiseaux affamés qui survolent le paysage complètent une caricature sociale immémoriale.

 

France-Belgique 2009058 edited

 

Naar Quiten Massys peint le banquier et sa femme. Le Lévitique déclare « vous ne commettrez pas de fraude sur les mesures, les poids et les contenances ». Un tel avertissement s’adresse bien sûr au changeur qui pèse les pièces provenant de toute l’Europe, afin d’en déterminer la valeur. Le monde de l’argent est placé à gauche « a sinistra » et contrebalancé par la partie droite où un livre de prière avec Madonne est posé. La femme du banquier qui est censée lire le saint livre regarde vers la gauche. Elle feuillette très négligemment le livre et met de la lumière et de la couleur dans le tableau. Le banquier lui est peint en sombre avec les apparences du personnage sérieux. Hélas, Hélas, sa femme regarde l’argent et l’or qui sont manipulés à gauche. Elle a même l'air de penser rêveusement au bon usage qu'elle pourrait faire de cet argent. Le miroir qui est une ouverture sur le monde lui inspire sans doute l'idée d'un prochain voyage à Bruges ou à Venise ! Ce tableau dont un exemplaire est détenu par le Louvre se veut être une caricature. Les traders et les Madoff commencent à poindre dans la société, dès 1514, date du tableau.

 

Bonne et heureuse année 2010

 

 

France-Belgique 2009047 edited


Guy Muller

 

 

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15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 19:30

Spécial krach

septembre 2008

 

 

Comme l’an dernier à la même époque j’accélère le rythme de parution. Alors que les banques étaient atteintes par la crise et requinquées par les Etats respectifs, ce jour nous avons connu une montée des risques, puisque 3 nouveaux établissements sont mis en cause. La FED ne peut plus soutenir le système. La banque Lehman (600 milliards de dollars d’actifs), a été mise en faillite. Merrill Lynch a été achetée pour 50 milliards de dollars, tandis que AIG un des grands assureurs américain serait en défaillance. Aussitôt les banques et plusieurs sociétés ont communiqué sur leur degré d’engagement (Dexia, SEB, BNP,UBS). Toutefois là n’est pas le problème. Les faillites imposent la vente d’importantes lignes d’actions pour réaliser les actifs solvables. Ces ventes réalisées dans l’urgence n’ont que faire des fondamentaux des sociétés cotées. Ce week-end le Journal des Finances titrait « Le pire est passé ». Il nous reste à voir l’efficacité de cette prédiction.

 

La planète financière plonge dans l'inconnu

Par Martine Orange

Mediapart.fr

Ce fut un de ces week-ends fous, un de ceux décisifs où se rebattent les cartes de la planète financière et donc de l'économie mondiale. Pendant trois jours, les banquiers centraux, les principaux banquiers du monde, les autorités américaines, sans relâche, se sont réunis pour tenter de sauver ce qui pouvait l'être de la planète financière. Au terme de ces longues discussions, le premier bilan est sanglant : la banque d'investissement Lehman Brothers est placée sous le régime de faillite, sa sœur jumelle Merrill Lynch est rachetée en catastrophe par Bank of America, American Insurance Group (AIG), le premier assureur mondial, demande un financement de 40 milliards de dollars en urgence à la Fed, pour tenter d'échapper à son tour au jeu de massacre.

Dès l'ouverture lundi matin des marchés européens, ces décisions ont déclenché la panique. Londres, Paris, Francfort décrochaient, perdant de 3 à 5%. Ce n'est pas tant la disparition de Lehman Brothers, laquelle semblait inévitable, qui inquiète, que ce que révèle ce qui s'est joué ce week-end. Un tournant important a été pris. Et les conséquences en paraissent immenses.

Tout provient d'un changement d'attitude majeur du gouvernement américain. Désormais celui-ci refuse d'apporter soutien et garantie illimitée, c'est-à-dire des fonds publics, au secteur financier. Depuis l'aide apportée par la Réserve fédérale au sauvetage de la banque Bear Stearns en mars, le monde financier se sentait rassuré : malgré tous les dangers qui se profilaient, le soutien des autorités monétaires et du Trésor américain lui semblait assuré. La nationalisation de fait des géants hypothécaires, Fannie Mae et Freddie Mac, la semaine dernière les avait confortés dans cette vue. Aussi, tous s'attendaient à ce le gouvernement américain vole encore une fois au secours de Lehman Brothers quand la crise s'est déclenchée.

Mais cette fois, leur espoir a été déçu. Lors d'une première réunion, vendredi soir, avec les principaux banquiers de Wall Street, Henry Paulson, secrétaire au Trésor américain, a fait savoir que l'Etat n'était pas décidé à mettre la main à la poche pour Lehman Brothers ou apporter sa garantie d'une manière ou d'une autre. Tout au long du week-end, Wall Street a tenté de peser pour faire revenir le gouvernement sur sa décision. En vain.

La fin d'une figure de proue de Wall Street

Des dizaines d'hypothèses furent imaginées pendant ces deux jours. Très vite, il apparut qu'aucun établissement bancaire n'était capable de reprendre seul la banque d'investissement, surtout si le gouvernement refusait son aide. On se proposa donc de la couper en deux. Une structure de défaisance devait reprendre la « mauvaise banque », les actifs liés aux produits hautement toxiques affectés par les "subprime", et autres produits dérivés nés du marché hypothécaire. La « bonne » banque, celle relative à la banque d'investissement, la gestion d'actifs, elle, serait rachetée par un établissement financier. Bank of America fut pressée de se porter candidate. Après examen du dossier, elle se désista, estimant qu'elle ne pouvait le faire sans garantie de l'Etat.

Tous les espoirs se portèrent alors sur le Britannique Barclay's. Celui-ci semblait prêt à reprendre Lehman. Mais il ne pouvait le faire dans les temps impartis : les autorités américaines voulaient que le dossier soit clos avant l'ouverture des bourses asiatiques lundi. La banque britannique ne pouvait aller si vite, devant soumettre le dossier à ses actionnaires et aux autorités de régulation britanniques au préalable. A en croire certaines sources citées par le New York Times, il semblerait aussi que les autorités de régulation financières britanniques aient usé de tout leur pouvoir pour dissuader la Barclay's de se lancer dans cette aventure. Dimanche soir, la banque anglaise annonçait son retrait.

Tous ont compris l'importance de la nouvelle : c'en était fini de Lehman Brothers. La quatrième banque d'investissement américaine, née d'une maison de courtage du coton à Montgomery (Alabama), devenue une des figures de proue de Wall Street depuis le XIXe au point d'être parmi les six membres fondateurs de la Réserve fédérale américaine, était morte. Lundi matin à la première heure, Lehman Brothers a annoncé s'être placé sous le régime des faillites.

Le sauvetage à l'arraché de Merril Lynch

Le monde financier a très vite compris qu'il lui fallait tirer les conséquences du changement de positionnement du gouvernement américain. Ne bénéficiant plus désormais de garantie étatique, il devait s'organiser pour faire face aux répercussions de la faillite de Lehman et de ses inévitables conséquences en chaîne. L'effondrement de la banque d'investissement risque d'entraîner une méfiance généralisée sur les établissements jugés les moins sûrs, nourrissant le cycle infernal du doute, de la raréfaction du crédit, du renchérissement des taux, des dégradations puis de l'écroulement. Et la première sur la liste était, de l'avis de tous, Merrill Lynch, la sœur jumelle de Lehman.

Pendant le week-end, le patron de Merrill Lynch, John Thain, ancien du New York Stock Exchange (la bourse de New York), rencontrait dans la plus grande discrétion le patron de Bank of America, Kenneth Lewis, pour discuter d'un plan de reprise. Dimanche soir, l'accord était conclu. Bank of America acceptait de racheter Merrill Lynch pour 50 milliards de dollars. La banque en valait plus du double, il y a un an. Mais la banque d'investissement n'avait plus le choix. Sans cet accord in extremis, elle était la prochaine victime désignée. De Merrill Lynch restera surtout, semble-t-il, son activité de gestion d'actifs et de fortune, appelée à fusionner avec celle de Bank of America.

Mais l'effondrement de Lehman risque de créer des dommages encore plus importants et qui ne seront pas que collatéraux. Un exemple, un seul mais qui pourrait se révéler mortel dans les mois à venir : toutes les banques, les assurances et les établissements financiers ont dans leur bilan des produits proches de ceux portés par Lehman. Personne ne sait plus la valeur de ces produits financiers : il n'y a plus de marché pour eux. Chacun a donc passé des dépréciations d'actifs plus ou moins importantes en fonction de son analyse des perspectives du marché, de ses possibilités financières aussi – toutes n'ayant pas des fonds propres extensibles. Demain, si les actifs de Lehman sont vendus aux enchères, à l'encan, le marché aura une valeur qui servira plus ou moins de référence. Et les banques devront bien en tenir compte pour l'établissement de leur bilan, ou expliquer pourquoi en cas contraire.

Société de secours mutuel

Sentant venir des lendemains difficiles, une dizaine de banques ont donc décidé, toujours ce week-end, de constituer une sorte de secours mutuel. Chacune participera à une caisse commune qui leur permettra de mobiliser des financements rapides en cas de besoin.

De son côté, la Réserve fédérale a assoupli à nouveau ses règles de financement pour venir en aide aux banquiers de Wall Street. Ce nouveau dispositif pourrait être mis à l'épreuve très rapidement. Selon le New York Times, l'assureur AIG a fait appel dès dimanche soir à la FED pour lui assurer un prêt court terme de 40 milliards de dollars pour l'aider à se refinancer. Le premier assureur mondial paraît avoir un besoin urgent de cet argent frais, les agences de notation menaçant d'abaisser sa note, donc d'augmenter son taux de financement, s'il ne levait pas des fonds dans la semaine. En parallèle, AIG a annoncé la vente en urgence de 20 milliards de dollars d'actifs. De leur côté, les autres banques centrales du G7 ont assuré, lundi matin, être prêtes à agir en cas de besoin. La banque du Japon dit "surveiller le marché de très près". La banque centrale européenne a déclaré être "prête à contribuer à des conditions ordonnées sur le marché monétaire en euros". Elle a déjà engagé une opération de liquidités exceptionnelle de 30 milliards d'euros.

Les premières lignes de défense ont été constituées. Des mesures de précaution ont été prises. Maintenant Wall Street croise les doigts. Mais aux premières heures de cette semaine décisive, tous ont le sentiment de plonger dans l'inconnu.



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24 janvier 2005 1 24 /01 /janvier /2005 19:58

EDITORIAL

Mon profil

 Actuellement retraité et grand père, je suis un investisseur en bourse depuis 46 ans, et ne regrette pas ce violon d’Ingres qui m’a permis d’améliorer mon ordinaire en m’offrant l’occasion de voyager souvent.

 J’ai connu toutes les spéculations et les effondrements consécutifs à ces spéculations. Essor des antibiotiques, découvertes de pétrole et de gaz en Algérie avec mise en bourse des Rep, informatique avec Bull, spéculations immobilières avec de nombreuses faillites (Garantie Foncière), tunnel sous la Manche, enfin l’effondrement des valeurs des nouvelles techniques de communication.

 J’ai aussi connu bien des spéculateurs au jour le jour chez Ferri (agence d Nice) qui achetaient la nouvelle le matin et revendaient le soir, les conseilleurs de toute nature qui promettent des rendements mirobolants en escroquant leurs clients. Ceux qui ont employé des techniques spéculatives : options, opérations à découvert, warrants. Ceux enfin qui présents sur Internet conseillent quelques mois puis disparaissent sans laisser d’adresse.

Pendant toute ma période d’activité, j’ai toujours amené des collègues ou amis en bourse grâce à une liste de conseils qui était examinée un an plus tard à la lumière des plus values exposées. Ce constat a souvent été déterminant pour obtenir un éveil d’attention. Entouré de cadres j’ai toujours trouvé chez eux une méconnaissance de la bourse voire de l’économie en général. Le paradoxe apparent, c’est que bien que syndicaliste au CNET à Issy les Moulineaux, je défendais le capitalisme, dans sa forme la plus visible.

 Dès 1968, j’ai aidé à la création de la Préfon qui était la première caisse de retraite complémentaire facultative. Par la suite, j’ai aidé des cadres de diverses entreprises à gérer la participation et l’intéressement, en préconisant une diversification des placements selon le risque.

Ma gestion

Elle est basée sur l’analyse fondamentale d’une entreprise. Un investissement doit être direct et l’intermédiaire de fonds de placements collectifs ne remplace pas cette exigence de participation à une aventure quel que soit le secteur d’activité concerné. C’est un véritable plaisir au bout de quelques années d’avoir permis la croissance mondiale de nombreux acteurs : Darty, Pernod, Canal, Essilor, M6, Labeyrie, Bonduelle, Sagem (avant fusion avec Snecma), Dior, Kaufman, etc.

 La gestion fondamentale est aidée par la communication des principaux ratios par la presse financière et par Boursorama dont le site internet est vraiment très complet. Avec les outils actuels et les sites des sociétés, nous disposons des principales données qui permettent d’intervenir en bourse sans trop de problèmes. Il suffit dès lors de suivre l’évolution des chiffres d’affaires et des résultats sans bouger trop souvent. N’est il pas surprenant de voir des investisseurs couper leurs gains trop tôt, égalisant alors rapidement gains et pertes. Depuis quatre années de nombreux titres progressent sans cesse : Dior, Schneider, Vinci, St Gobain, Néopost, valeurs de l’immobilier, des assurances, des banques et de l’énergie. La vente s’impose lorsque les résultats déçoivent. Mais pourquoi se contenter de 25% de plus value alors que les valeurs précitées ont pratiquement toutes triplé ? Une telle progression trouve sa source dans la progression des bénéfices. Les PER de nombreux secteurs sont inférieurs à la moyenne des PER sur dix ans ce qui prouve que les vendeurs ont eu tort.

Principes de base

-         Diversification du patrimoine, dont l’immobilier est partie intégrante,

-         investissement des sommes dont on n’a pas immédiatement besoin,

-         diversification du nombre des lignes pour ne pas tout mettre dans Eurotunnel,

-         suivre régulièrement les annonces de CA et de résultats de ses valeurs en portefeuille,

-         prendre régulièrement ses bénéfices surtout lors d’une hausse supérieure à celle du bénéfice,

-         agir rapidement si l’on est déçu par une mauvaise nouvelle,

-         couper ses pertes, jamais ses gains,

-         éviter la dispersion et les petites lignes,

-         ne pas dépasser 10% dans une valeur, si elle monte son poids augmente naturellement,

-         vendre systématiquement après un plus haut des indices pour se constituer des liquidités.

-    tenir compte du rendement et ne pas détenir de valeur sans rendement. Si vous prenez ce risque il ne doit pas dépasser 10% de votre investissement.

 

Ce bloc notes est construit pour une utilisation familiale et pour des amis. Les renseignements qui y figurent sont obtenus auprès des meilleures sources mais ne constituent pas une invite à l’investissement. Il poursuit la suite d’une édition mensuelle d’un mail édité depuis cinq ans auprès de proches. Son but est pédagogique et ne vise pas à obtenir la meilleure performance. Une performance se mesure en un calcul du gain par rapport à un risque. Les valeurs mobilières moins risquées sont nombreuses : obligations, convertibles, organismes d’épargne collective.

Merci pour votre attention

Guy Muller

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